Une minute de chats
Parce que c’est aussi ça, ma vie. Et qu’une vidéo de chats, c’est toujours bon pour le trafic d’un blogue.
Renard
Je suis en train de me monter une boutique en ligne, et cette pièce va faire partie du matériel à vendre. Ça vous intéresse? Faites-moi signe!
Divers dessins d’hiver
Joyeux [___________]!
Allons, je déconne un peu. Je vous aurais souhaité Joyeuses fêtes, mais vous auriez pensé que c’était par rectitude politique. En fait, il y a Noël, le Jour de l’an, et pour ma part, du 26 décembre au 2 ou 3 janvier, c’est l’anniversaire de quelqu’un que je connais (y compris l’auteur de ces lignes). Alors Joyeux Noël, Sol Invictus, Festivus, Jour de la Vie, anniversaire et tout ce que vous voulez. Mangez, buvez et soyez heureux, réunissez-vous entre amis, en famille, avec votre club de bridge ou avec qui vous voulez, aimez et profitez de la vie! Et reprenez un autre morceau de bûche, je ne veux pas être pogné pour manger des restants pendant 2 semaines…
Merci à tous pour 2011. Année bizarre, difficile sans être nécessairement mauvaise, avec le sentiment d’être passé à côté de plein de choses. J’ai des plans pour 2012, évidemment, on verra ce que ça nous réserve!
Une autre carte de Noël!
L’an prochain vous voudrez être parmi les clients de François Lacoste, comptable. Comme une bonne partie de sa clientèle se situe dans le domaine du voyage, il m’a commandé une carte thématique adaptée.
Cela dit, même s’il est un peu tard cette année, N’oubliez pas que je suis disponible pour ce genre de mandats. En fait, si vous avez une occasion à souligner par une carte, faites affaire avec le Patchwork! Mais si vous avez vraiment, vraiment besoin d’une carte de Noël cette année, plus de détails ici!
Brouillon : Wendigo
Loin du produit fini, mais je compte peaufiner celui-là un peu plus. Pas certain des yeux, c’est sûrement la partie que je vais retravailler en premier…
Cartes de Noël
Cette fin de semaine, c’est en passant devant le rayon des décorations de Noël au centre d’achats que je me suis rendu compte que le temps des Fêtes approche. Amis entrepreneurs, cela veut dire que vous aurez probablement un camion de cartes de Noël à envoyer à vos clients et fournisseurs. Pour les autres, rien ne vous empêche non plus d’envoyer des vœux à ceux qui vous sont chers. Vous pouvez alors choisir à partir d’un catalogue d’une compagnie américaine remplie des mêmes images clichées et sirupeuses que l’an dernier, ou encore encourager le commerce local et l’art d’ici!
En collaboration avec l’imprimerie Sortimage, j’ai produit cette collection de cinq illustrations. Vous pourrez donc vous démarquer et en même temps acheter local. SI vous êtes capables de monter un souper des Fêtes du terroir, pourquoi pas distribuer des cartes des Fêtes du terroir elles aussi?
Pour commander, contactez Stéphane Brisebois au 450 628-3113, poste 3109. Je vous demanderais aussi de me faire signe si vous en commandez, un truc pour mes statistiques…
MISE À JOUR : Les cartes sont aussi en vente chez Mortimer Snodgrass, 56 rue Notre-Dame ouest, dans le Vieux-Montréal. Si vous n’y êtes jamais allés, profitez-en aussi pour faire le tour de la boutique, je retombe en enfance chaque fois que j’y vais!
Coup de cœur : EN MASSE
J’aime bien l’art urbain. J’apprécie le graffiti bien fait et bien placé, je suis un fan fini d’artistes comme Banksy et Shepard Fairey, et même si, à mon avis, le tag a à peu près la même utilité et la même esthétique que celle du chien qui lève la patte sur une borne fontaine — marquer son territoire — , je commence à deviner le travail typographique derrière.
Mes autres influences sont aussi diverses : des bédéistes aux maîtres anciens, j’ai la fibre visuelle assez sensible, et je ne suis pas le seul, apparemment. Jason Botkin et Rupert Bottenberg sont derrière EN MASSE, un projet à la croisée des chemins entre l’imagerie commerciale, la bédé underground, le graffiti et les beaux arts. Le projet est une plateforme qui rassemble des artistes d’horizons différents qui le permet de construire une vision collective qui dépasse ce qu’ils pourraient créer individuellement.
Le résultat, des murales en noir et blanc, qui poussent ça et là dès que l’opportunité se présente, et assez souvent suite à des demandes. Pour ma part, je les ai découverts au fil d’une promenade nocturne sur Sainte-Catherine, en croisant une murale qu’ils ont réalisé pour le festival Under Pressure. Et si je ne m’abuse, je les a aussi croisés à un événement ou deux auparavant. Toujours la même fascination de les voir à l’œuvre, toujours le même émerveillement d’admirer le résultat final.
Et toujours le même coup de pied au cul : se lancer, dessiner plus, obéir aveuglément à l’appel de se dépasser…
Vous pouvez les suivre sur leur site (superbe, soit dit en passant!) ou sur Facebook.
Revue de logo : Impact de Montréal
D’entrée de jeu, je ne suis pas un sportif. Je suis fan du Canadien plus par culture qu’autre chose; je deviens relativement «fefan» en séries, mais ne me demandez pas d’analyser le jeu de Plekanec (je l’ai écrit comme du monde?) contre Mike Liut (il joue encore? ;P ) lors du dernier match. Sinon, je suis relativement fan des alouettes (ne me demandez pas de nommer les positions sur le terrain, par contre) et de soccer (idem).
Dans mon inculture, je sais tout de même que l’Impact fait le saut en MLS l’an prochain. Une refonte de l’identité graphique pour l’occasion? Pourquoi pas? Si ça peut redorer le blason de notre club de fromages (Sérieusement, je vois les scores des parties et me dit que, l’an prochain, on va se faire laminer sur le terrain…
Que dire, alors, du nouveau logo, une réalisation de Pigeon*? À l’image des performances de l’équipe présentement, je trouve que l’Impact n’en a justement pas. L’œil s’égare, l’élément central («l’écharpe») manque de punch, le choix typographique, bien qu’agréable à l’œil, est un peu trop doux. Quant aux éléments l’entourant, on ne sait plus à quel saint se vouer…
Cela dit, l’argumentaire derrière la construction du logo est excessivement solide. La forme de l’écu, concept qu’on retrouve chez les autres clubs de la MLS, tient amplement la route. Vive les emprunts à l’histoire : les quatre étoiles en référence aux quatre peuples fondateurs de Montréal, les couleurs du peuple québécois, les rayures rappelant le maillot du premier championnat (que j’adore, d’ailleurs). La fleur de lys, obligatoire dans le concept de l’Histoire, aurait gagné à être l’élément central à mon avis; ça aurait réglé la question de la structure. Quant à la devise, «Tous pour gagner», j’aime savoir que, si nous avons une bonne équipe, nous allons emmerder le reste des clubs de la ligue en français… (désolé, mon côté souverainiste prend parfois le dessus.)
Est-ce un mauvais logo? Absolument pas. Il est construit sur des bases très fortes, des valeurs solides, et une vision ambitieuse. Cela dit, si le nom du club est Impact, on aurait souhaité quelque chose avec, justement, un peu plus d’impact. La fleur de lys comme élément central de l’écu, par exemple, flanquée des quatre étoiles comme c’est là, avec les rayures en fond. On baisse l’écharpe un peu, on ajoute un peu de viande à la typo et nous nous retrouvons avec le même logo, mais un peu plus de punch.
Je suis curieux, maintenant : je suis convaincu qu’on peut décrire le logo dans le langage héraldique. Quelqu’un s’y connait assez?